Penelope Mordoch, priginairement nommée Alkestis . Le nom de voyageur qu'elle a choisi est "The Mediator", mais à présent, elle se fait appeler Penelope Mordoch, parce que c'est le nom qu'elle s'est choisi pour raison personnelle.
258 ans

Gallifrey

Seigneur du Temps

Omega / la Terre, toujours une grande indécise.

C'est compliqué mais elle se dit veuve.

Hétérosexuelle

Zooey Deschanel

  Je suis un canard très sexy.

 CARACTERE :

Je suis une personne changeante, et pour chaque visage j'ai évolué un peu plus, sûrement les années, oui certainement. Le peu d'épreuves que j'ai vécues m'ont fait mûrir, il m'a fallu deux centaines d' années pour être celle que je suis maintenant.

Parlons d'abord de mes qualités, il vaut mieux. Je suis une femme coquette, les humains m'ont appris beaucoup de choses sur l'art de l' apparence, et ce fut comme une révélation pour moi de donner plus de couleurs à mon visage.
Aux yeux de tous, je suis comparée à une petite bonne femme pétillante qui court et saute toujours partout, joueuse de toute situation. C'est certain, je suis dynamique, mais pas seulement. Avant, quand j'étais encore à Gallifrey, j'aimais rester des heures à discuter avec mes amis, trouver de bonnes solutions aux petits conflits entre les Seigneurs du Temps, ou rire des récits peu extraordinaires que nous nous racontions. Je n'ai pas tant changé, si ce n'est qu'aujourd'hui, je suis un peu plus courageuse, j'ose faire des choses que je n'aurais jamais faites auparavant. Je suis curieuse de tout, un peu trop parfois, j'aurais fais une bonne journaliste. Je suis altruiste évidement, je n'attend rien des personnes que j'ai pu aider, je fais toujours les choses de bon coeur. Sinon, il n'y a pas plus optimiste que moi, je vois le bien en presque tout le monde jusqu'à ce que mes yeux s'ouvrent enfin, et là, je peux vous dire que je suis aisément rancunière.

Venons en aux défauts. Tout d'abord, je suis extrêmement capricieuse, et ça, c'est quelque chose qui n'a pas changé, je l'ai toujours été. On me dit désordonnée, je met des affaires partout, et en effet, mon TARDIS est en grand bazar. Mon caractère est difficile à supporter, et quand je commence à parler, je ne m'arrête plus ! On ne m'enlève pas une idée de la tête lorsqu'elle y est ancrée, je suis butée comme une mule. De plus, la patience n'a jamais étée mon fort, j'agis souvent sur un coup de tête, et je fais toute sorte de petits caprices.
Il m'arrive de lancer mon regard vers quelqu'un et de me dire qu'il ou elle a de la chance, je suis envieuse je dois l'avoue. Je ne voudrais pas mentir, je suis insolente à un point quand quelque chose ne me va pas, j'essaie de me contrôler quand même.


PHYSIQUE :

Je suis déjà, une femme, c'est visible... Bon d'accord, je suis assez grande, enfin, de taille moyenne, ni trop mince, ni pas assez, j'ai une abondante chevelure brune ornée de boucles plus ou moins parfaites. Mes yeux sont bleu azur, et je les tiens toujours grands ouverts.
Je m'habille un peu comme une petite fille selon une amie, j'aime les gros noeuds, les points et les couleurs excentriques. Je me maquille, mais très peu, je n'aime pas ressembler à un pot de peinture.

GALLIFREY
Je suis née il y'a 258 ans, sur cette magnifique planète qu' est Gallifrey, bien sûr, je ne me souviens pas de ce jour qui, contrairement à moi, àa marqué mes parents. Leur seule et unique fille j'étais, et ils décidèrent de m' appeler Alkestis, comme l'une de nos ancêtres. Mon père travaillait au gouvernement de Gallifrey aux côtés de Rassillion, nous étions de ces personnes qui vivaient dans le luxe, sans prétention mais fiers d' avoir ce que nous avions. Une vie normale en soit, je ne manquais de rien. A huit ans, j'y suis passée moi aussi, j'ai regardé dans le vortex comme tous les autres avant moi, j'ai fuis jusque chez moi, si ma mère ne m'aurait pas parlé pendant des heures, j'aurais continué de mouiller mes genoux de mes chaudes larmes, mais après ses mots rassurants, je fus prête pour ensuite partir à l'Académie. Ah, l'académie, l'université, je m'y sentais comme dans mes chaussettes, à l'aise, tout mes camarades me nommaient la "Princesses médiatrice'', je cherchais la paix pour tous et de plus, on me voyait comme une petite princesse dû à mes façons de faire, à mes caprices d'enfant gâtée.
Puis je grandissais, je prenais de l'âge, et ce fut le passage du permis TARDIS, je l'optin les yeux fermés, puis je devins finalement médiatrice pour toute sorte de conflits.

LA GUERRE
Malheureusement, je ne pouvais rien y faire, j'étais une parmi tant d'autre, et c'était arrivé du vite... j'ai survécu, je me suis caché, j'ai passé mon temps à ça, me cacher, chaque minute était une angoisse impossible, et il nous était impossible de fuir. Nous étions bloqués, complètement, jusqu'à ce que Omega soit libéré. Il mit trois semaine à faire le necessaire pour nous permettre le voyage, et Immédiatement, ma mère m'a fait sauter dans le TARDIS de mon père pour fuir cette planète. Je ne sais pas ce qui m'a poussé à l'écouter, j'aurais voulu avoir le courage de dire non et rester à leurs côtés , mais mon égoïsme m'a guidé et m'a poussé hors de ces terres. J'ai fuis tout simplement, et voilà que j'étais libre sans le sentir. J'ai visité des centaines de planètes, apprenant des choses, notamment la solidarité, la compassion, l'envie d'aider les autres. J'ai voyagé, je n'aimais pas cela au début, et puis j'y ai pris goût jusqu'à ce que je pose pour la première fois mes pieds sur Terre. La Terre, mon père m'en avait conté des histoires si souvent pour m'endormir... Il fallait que je vois cette planète pour de vrai, de mes propres yeux, et la première sensation que je ressenti fut de la mélancolie, j'avais envie de pleurer en pensant à cette planète, à mes parents. C'est que je ne savais rien de ce qui, je ne savais pas que mon paternel avait été tué parce qu'il faisait partie du gouvernement de Rassillion, je ne savais pas que ma mère avait passé son temps à se cacher encore et encore... La Terre pour moi était un nouveau départ qui n'aurait pas été possible si j'aurais pu savoir.

UN PETIT MONDE TRANQUILLE

Je venais de me régénérer, j'étais une jeune femme rousse aux yeux bruns, et je provoquais les regards de par ce physique, ce nouveau visage, et mon audace. Je n'avais aucune raison d'être là, en 1816, parmi toute ces personnes qui prenaient goût à ma présence, mais les rencontres que j'avais faites m'avaient donné envie de m'établir un peu plus longtemps. J'avais choisi de prendre l'identité d'une riche bourgeoise amoureuse des voyages, et là, je me confiai une première fois à celui qui devint mon compagnon de l'espace. J'en suis lamentablement tombée amoureuse alors qu'il était uni à une femme par un mariage arrangé et avait un enfant. J'avais cette sensation à la fois agréable et douloureuse que procure l'amour non partagé, du moins, à ce que je pensais, il était marié, avec un fils, il ne pouvait pas m'aimer. Nous avons passé deux ans à ne pas connaitre les sentiments l'un de l'autre, et quand ce jour fut, Nicolae me demanda en mariage, non sur Terre, il avait déjà sa femme, peu importe où, j'étais égoïste, je n'avais plus envie de le ramener à sa famille. C'est en rentrant cette fois où nous étions libres de s'avouer notre amour que je m'aperçu que nous étions suivis par une famille de sang. Je savais que nous ne serions pas tranquille de si tôt, qu'ils nous traiteraient jusqu'à pouvoir m'atteindre, et je ne voulais pas lui faire courir ce danger, moi, je savais que je m'en sortirais.
Pour le protéger, je l'ai laissé en plan sur Terre, j'ai réussi à échapper à la famille de sang, mais j'ai failli à tout ce que j'avais prévu. Quand je suis revenue sur Terre, deux ans avaient passé et j'avais perdu toute trace de Nicolae , il avait complètement disparu, et personne n'avait su me dire ce qu'il était devenu, son fils avait grandi, sa femme ne semblait pas très peinée, et flirtait gentiment avec un homme. Je voyageai un temps seule, encore une fois, et reparti à la découvertes de peuples pour moi légendaires. A nouveau je me régénérais, et revint vers mon réel amour, la planète bleue (j'ai déjà vu plus bleu), vers une autre époque, l'année 2012, et je n'en bougeai pas, je devins humaine sans vraiment l'être, et encore une fois, ce n'était pas pour rien, j'avais fais la rencontre d'Henry, le sosie parfait de Nicolae qui était en fait son descendant. Je sais que ce n'est pas forcément convenable, mais je rabat les souvenirs de Nicolae sur Henry, et à présent, je garde un oeil protecteur sur lui pour que jamais il ne disparaisse.
Puis arriva la guerre de mon peuple et j'aurais fuis s'il n'aurait pas été là, j'aurais fuis comme toujours, mais vient aujourd'hui l'heure du devoir, celui de prendre parti, de savoir quelle cause je veux défendre, et pour l'instant je suis entre deux chaises : la Terre ou Omega ? Je sais en tout cas que je ne soutiendrais pas Rassillion qui trop longtemps a fait des erreurs.

Tout ce que je veux, c'est que cette guerre cesse, je ne suis convaincue de rien. Mais pour moi, elle ne fait que commencer. Pour l'instant je suis Penelope Mordoch, enfant de la terre, et j' attend que mon courage vienne pour commencer à vraiment prendre part à cette guerre.
...

Un jour, mon assistante de voyage que je surnomme la casanière, m'a demandé quand est ce que je prendrais part au combat, quand est ce que j'oserais fouiller la planète pour voir si je peux retrouver les parents, je lui ai répondu : "Quand je serais prête à apprendre une mauvaise nouvelle de plus, quand j'aurais le courage d'affronter ceux que j'ai fuis." Et elle m'a répondu qu'elle ne voyait pas plus courageuse que moi." Les gens m'ont toujours beaucoup surestimé, et elle encore plus. J' aurais aimé lui répondre "Tout de suite chrono en main" comme je le faisais souvent, mais la c' était différent, ce n'était pas le même combat.

Omega , Rassilion , mais comment voulez vous que je choisisse mon camp ? J'ai pris pour habitude de faire la part des choses et de ne m' en mêler que si c'est pour dénouer quelque chose de bon en somme, qui mette les deux parties d' accord ! Mais là, ce n'est pas la même chose, c'est mon peuple qui se fait combat sur l' une des planètes que je chérie, je suis trop impliquée pour savoir ou j' en suis, et je dirais même, je n'étais pas là durant tout ce qu'il s'est passé, bien trop immature et égoïste lorsque je suis partie.

Si je serais restée, ça n' aurait pas été mieux j' aurais été un boulet, mais il est vrai que j' aimerais savoir. J' ai beaucoup trop longtemps dirigé ma vie seule comme je l' entendais, je ne m' occupais que de mes amis, de mes amours, et bien qu' encore aujourd'hui ce soit le cas, je veux définir d' autres priorités : la guerre. Je tremble, j' en ai peur, et plus je peux l' éviter, plus je le fais et si je devais rallier une cause, m' unir à quelqu'un, je suivais celui qui aime tant la planète que j' aimerais protéger : le docteur. Puisqu'il se trouve être contre Rassilion, je le conforte à l'idée d' avoir pensé au bon camp.
Oui oui, je suis une grande indécise, et me convaincre sera chose aisée si les mots savent me séduire.